« MONGOLIE – le chant des steppes » les festivals de l’ADEM

Description

Amartüvshin Baasandorj : khöömii, luth tovshuur, vièle morin khuur
Tümürsaikhan Yanlav : chant, vièle morin khuur
Uuganbaatar Tsend-Ochir : vièle ih khuur
Sarangerel Tserevsamba : yoochin, chant, percussions
Ariunaa Tserendavaa : danse

C’est par la transmission orale que les chanteurs-instrumentistes et la danseuse de l’ensemble Egschiglen ont acquis le répertoire de leurs ancêtres. Leur musique évoque les steppes d’Asie centrale et le galop des chevaux. Le diphoneur Amartüvshin Baasandorj est issu de l’une des plus illustres familles du khöömii. Initié par son père et ses oncles, il diphonise dans le pur style de Chandmani, son village natal, dans l’Altaï.

Au début des années 1990, avec l’ouverture de la Mongolie, la circulation internationale des musiciens mongols s’intensifie. C’est dans ce contexte que les membres d’Egschiglen s’installent en Allemagne et développent un projet musical aux visées professionnelles, qui a déjà été accueilli dans de nombreux festivals. Le programme de cet ensemble pionnier va des chants traditionnels aux pièces de musique classique mongole, avec l’apport de la danse, qui renforce le pouvoir évocateur de la musique.

Cuisine et artisanat mongole dès 19h . Foyer du rez – Alhambra